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Entre la mer Tyrrhénienne et le merveilleux promontoire de «Cinque Terre» en Ligurie, tous les chemins mènent à Sestri Levante. Si le village de Portofino est la séduction dans cette région, Sestri Levante est la force et les traditions d’une âme tout italienne et méditerranéenne.

Un lieu d’inspiration apte à raviver l’art de vivre, un lieu de vacances qu’offre au quotidien un bouquet de plusieurs humeurs du ciel et harmonies de la terre. Le visiteur éprouve une étrange affectivité face à la beauté, l’élégance et l’indigo de la mer du village de Sestri Levante en Ligurie.

Les couleurs sont infinies, la lumière est intense et essentielle, les reflets de l’eau de la mer une aquarelle. Cet endroit est d’une beauté vraie, sans artifice, pour savourer une parenthèse de vacances et de bien-être absolu.

Antonio Torrenzano

 

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Lipari est une des îles de l’archipel éoliennes au sud de l’Italie entre la péninsule et la Sicile. Cette île est une île volcanique qui date, d’après le plus vieux morceau de lave, de 223000 ans. L’île a connu de nombreuses éruptions successives et la dernière date de 650 à 800 ans après J.-C. L’île mesure 10 km de long et 5 km de large avec deux principaux volcans qui sont le Monte Chirica et le Monte Sant’ Angelo.

En étant une île volcanique, il y a encore aujourd’hui des sources d’eau chaude qui parviennent à la surface. Ces sources sont utilisées comme sources thermales par les habitants et par les vacanciers qui viennent profiter des plages de l’île pendant l’été. Lipari est quand même une île importante pour les cures thermales avec ses sources, mais c’est aussi un endroit extraordinaire pour le tourisme vert. De nombreux chemins mènent au sommet des cratères où il est possible découvrir des fumerolles s’échapper du sol.

Mais, Lipari est-elle aussi une île historique avec de nombreux lieux archéologiques. La forteresse, par exemple, qui se trouve au centre du village exprime bien cela. Mais encore la vieille église normande et le musée archéologique. On retrouve sur l’île des vestiges grecs et romains sous forme de ruines dans le site archéologique de Diana. On trouvera aussi des vestiges médiévaux que sont les tours de guet de la forteresse. Grecques, romaines, normandes, les invasions et les influences multiples ont façonné donc le paysage et la personnalité complexe de cette ile de l’archipel éolien.

Personnalité complexe et multiples influences qui se peuvent d’observer au Musée archéologique surtout dans la salle des masques grecs, des amphores, des vases et d’autres céramiques polychromes éoliennes. Je conseille aussi de rencontrer la chef du Musée, Madeleine Cavalier, une femme extraordinaire, française, qui a cré avec l’archéologue italien Luigi Barnabo Brea ce bijou de musée il y a presque 30 ans. Le Centre d’études éoliennes, en revanche, est une sorte d’association qui centralise toute la littérature et la documentation culturelle et non touristique sur les îles. Ils éditent aussi des très beaux livres sur le cinéma, sur la cuisine éolienne et d’autres photos et tableaux.

Antonio Torrenzano

 

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Les chefs d’État et de gouvernement réunis à l’Aquila, ils sont parvenus à plusieurs compromis pour réformer la finance, relancer l’économie mondiale et lutter contre la pauvreté. Le premier ministre italien, Silvio Berlusconi, a énuméré pendant la conférence de presse les engagements pris.

Crise économique et commerce :le G8 a noté des «signes de stabilisation» de l’économie, mais il a averti que des «risques importants» existent et que la montée du chômage peut «remettre en cause la stabilité sociale». Pour ce qui concerne le commerce mondial, les chefs d’État de G8 et des Pays émergents, ils ont souligné de refuser tout protectionnisme et ils désirent conclure en 2010 le cycle de Doha sur la libéralisation du commerce international. Une réunion des ministres du Commerce se tiendra avant le sommet du G20 de Pittsburgh aux États-Unis au mois de septembre.

Réchauffement climatique :les leaders du G8 se sont engagés à réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre de 50% en 2050 et celles des pays industrialisés de 80% par rapport à 1990 ou «des années plus récentes». Le sommet, en revanche, n’a pris aucun engagement intermédiaire comme le réclamaient les pays émergents pour prendre leur part du fardeau. Si le président Barack Obama a salué «un consensus historique», pour le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, «les résultats sont insuffisants».

Agenda international (Iran, Corée du Nord) : Le sommet s’est déclaré déterminé à trouver une «solution diplomatique» pour ce qui concerne l’Iran sur le nucléaire en donnant à Téhéran jusqu’à la fin du mois de septembre la limite temporelle pour répondre à l’offre de dialogue. La conférence internationale a par ailleurs manifesté ses préoccupations pour les violences survenues après la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad. Le sommet a également condamné la Corée du Nord pour l’essai nucléaire et les tirs de missiles effectués dans ces derniers mois qui mettent en cause «la paix et la stabilité dans la région».

Antonio Torrenzano

 

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Mondialisation et développement incontrôlé avant la crise économique, ils avaient porté nos sociétés industrialisées à penser que tout était permis et que toutes les ressources de la Terre seraient toujours été suffisantes. L’économie pour une longue période (15 ans environ) avait oublié la gestion de raretés. D’une certaine manière, la rareté est de retour, elle change de forme. Cette rareté aujourd’hui n’est plus exclusivement celle de l’énergie, mais plus encore celle du changement climatique, celle de l’eau, de l’environnement, des ressources agro-alimentaires, de la santé, de l’éducation. Plus précisément, on peut distinguer au moins trois types de raretés : l’air, l’eau et tout ce qui est lié à l’environnement. Ces trois types d’urgences, ils nous invitent à agir et à penser à long terme.

Le porte-parole du secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon a affirmé au deuxième jour du sommet du G8 que «les résultats sont insuffisants sur le changement climatique». «Les dirigeants du G8 avaient une occasion unique qui risque de ne plus se représenter», a-t-il ajouté. «Le secrétaire Ban Ki-Moon regrette l’absence d’objectif à moyen terme en 2020, même s’il se félicite de l’objectif du G8 de réduire de 80% les émissions des pays industrialisés d’ici 2050». Pour le secrétaire Ban Ki-Moon a-t-il ajouté : « nous avons besoin d’un objectif à moyen terme pour nous assurer que nous sommes sur la bonne voie pour atteindre les objectifs de 2050. Les évidences scientifiques du réchauffement climatique nous montrent que nous devons agir rapidement».

La crise hydrique est aggravée par l’augmentation démographique et dans les prochains vingt-cinq ans, l’eau deviendra une ressource rare et limitée. De nombreux rapports annuels des Nations unies, ils affirment qu’environ un milliard et quatre-cent-millions de personnes (soit dans les zones urbaines soit dans les zones rurales), ils n’ont pas déjà la possibilité d’accéder à l’eau potable et presque plus de deux milliards d’individus, ils subissent les effets négatifs causés par la mauvaise qualité de la ressource. Le secrétaire général de l’ONU a encore affirmé que «nous devons agir rapidement».

Les vingt pour cent de la population mondiale utilisent aujourd’hui le 80% des ressources de la planète qui seraient destinées à d’autres individus. Nous ne pourrons pas survivre comme espèce, si l’avidité est privilégiée et protégée. L’avertissement de Gandhi est aujourd’hui encore plus contemporain que jamais: « la Terre a assez de ressources pour les nécessités de tous, mais pas pour l’avidité de peu». La marchandisation de la ressource hydrique provoque déjà graves répercussions au niveau social, sanitaire, naturel. Le secrétaire général de l’ONU estime que le sommet qu’il organisera au mois de septembre, en marge de l’Assemblée générale des Nations unies, sera «l’occasion de la dernière chance» .

Ban Ki-Moon « refuse de considérer la possibilité d’un échec à Copenhague», où devra être conclu dans le mois de décembre un nouvel accord climatique multilatéral, sous l’égide de l’organisation internationale.

Antonio Torrenzano

 

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Les leaders du G8 ont atteint dans la première journée de travail une position commune sur la crise économique et la nouvelle architecture financière globale. La réponse stratégique à la crise sera un corpus de principes juridiques et économiques communs sur l’intégrité, la transparence et les comportements convenables dans les opérations financières et commerciales internationales. Ce corpus juridique est également connu et nommé par les économistes comme «Global legal standards»

La décision de travailler à la définition d’un nouveau corpus de principes économiques avait été prise pendant la réunion des ministres des Finances du G-7 qui s’était tenue à Rome les 13 et 14 février 2009 et proposée par le ministre italien de l’Économie et des Finances, M. Giulio Tremonti. Déjà dans la réunion de Rome du mois de février 2009, la crise financière avait mis en lumière la nécessité de disposer à la fois d’une réglementation internationale plus efficace et de conférer une dimension plus éthique à l’activité commerciale internationale. Le 16 février 2009, le Secrétaire général de l’OCDE, M. Angel Gurría avait salué cette décision en affirmant qu’une «économie mondiale plus forte, plus juste et plus saine ne sera possible que si tous les pays partagent un ensemble de principes fondamentaux » en ajoutant que dans « ces quinze dernières années, avec le concours de pays membres et de bien d’autres acteurs de l’économie mondiale, l’OCDE a mis au point un ensemble dense, ambitieux et complet de règles d’action. Qu’il s’agisse d’instruments juridiquement contraignants ou non ou encore de recommandations, ces règles proposent des pratiques exemplaires à l’attention des pouvoirs publics ».

Depuis le mois de février l’OECD, il commença donc à examiner les instruments juridiques existants, lignes directrices et conventions pour vérifier s’ils devaient être améliorés ou élargis. Les mois suivants (mars, avril) toujours près du siège de l’OECD à Paris, une délégation d’économistes de haut rang du FMI, des économistes la Banque mondiale ensemble aux experts du Financial Stability Board, ils avaient continué à échanger leurs points de vue pour coordonner de possibles réponses à la crise et de nouvelles normes mondiales. Le travail de rédaction est continué de manière pressante, car les conséquences économiques et sociales de la récession pour les pays membres de l’OCDE, mais plus particulièrement pour les économies émergentes et en développement, elles continuaient de se dégrader sur trois fronts: le secteur financier, l’économie réelle et l’emploi.

L’OECD a partagé ce processus en collaborant aussi étroitement et parallèlement avec les deux présidences du G20 et du G8. Le premier test du nouveau mémorandum juridique, il est arrivé pendant la réunion ministérielle de l’OCDE du 24 et 25 juin dernier; le deuxième a été hier après-midi pendant la première journée de travail du G8 à l’Aquila quand le ministre italien de l’Économie et des Finances Giulio Tremonti a présenté le texte définitif .

Le corpus juridique de la nouvelle architecture financière globale poursuit un double objectif : remédier aux défaillances du système et engager des politiques qui permettront le chemin de la reprise et de la croissance à long terme pour toute la communauté internationale. Le texte prévoit en outre des efforts qui visent à améliorer le cadre opérationnel des entreprises, des marchés et des autorités publiques, en vue d’une économie mondiale plus forte, plus saine et plus juste. Pour le secrétaire général de l’OECD, Angel Gurria, ce texte a «une longueur d’avance » et la possibilité de faire prendre de nouvelles «décisions structurelles». Le nouveau corpus juridique qui a pour objet d’assurer l’intégrité de l’environnement international financier et économique, il devra maintenant être ratifié dans la prochaine réunion internationale du G20 qui se tiendra au mois de septembre à Pittsburgh aux États-Unis.

Antonio Torrenzano

 

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«N’oubliez pas les plus pauvres », il a été l’appel que le Pape Benoit XVI a lancé ce matin, à l’Audience générale, alors que les chefs d’État des pays les plus riches se retrouvaient dès ce mercredi pour la réunion du G8 à l’Aquila. Un message déjà présent dans son Encyclique «Caritas in Veritate» publiée hier sur laquelle le Pape est longuement revenu pendant l’Audience générale d’aujourd’hui.

«La crise financière et économique qui a touché les pays industrialisés, ceux émergents et ceux en voie de développement, montre de manière évidente comment certains paradigmes économiques et financiers sont à repenser », a estimé Benoît XVI. Seule une culture partagée de la participation responsable et active permettra à tout être humain de se sentir non pas bénéficiaire et témoin passif, mais collaborateur actif dans un nouveau processus de développement mondial. L’Encyclique, en s’inscrivant dans la ligne de l’ancienne «Populorum progressio» de Paul VI du 1967, offre des orientations pour affronter les crises que le monde déjà connaisse.

L’encyclique ne propose pas des solutions, mais demande que soient respectés certains principes essentiels pour construire un véritable développement humain, lutter contre la faim et l’insécurité alimentaire. Elle invite également à entreprendre une réflexion approfondie sur le sens de l’économie et ses finalités. L’économie, affirme Benoit XVI, doit retrouver et faire sienne «la logique du don». Puisque le processus de mondialisation, en acte dans le monde, pénètre toujours plus dans le domaine de la culture, de l’économie, des finances et de la politique, le grand défi d’aujourd’hui est de mondialiser non seulement les intérêts économiques et commerciaux, mais également les attentes de solidarité et la valorisation de l’apport de tous les individus de la communauté mondiale. Mais, cet effort oblige à la collaboration tout le monde : individus, États, organisations internationales, communauté politique planétaire. Un développement harmonieux sera possible seulement si les choix économiques et politiques mis en oeuvre tiennent compte de ces principes. Benoît XVI invite donc à « repenser » certains « paradigmes économiques et financiers » et développer un «nouveau modèle de développement plus attentif aux exigences de la solidarité ».

Antonio Torrenzano

 

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Le président Barroso représentera pour la cinquième fois la Commission en tant que membre de plein droit au sommet du G8 qui se déroulera à partir de demain à L’Aquila. Le président de la Commission, pendant une conference de presse, il a affirmé qu’il soulignera la nécessité d’apporter une réponse internationale coordonnée aux défis communs posés par la crise économique et financière, le changement climatique et à un développement durable dans le continent africain.

Le président de la Commission européenne a déclaré: «Cette année, le sommet du G8 se déroule dans un contexte particulièrement difficile. L’Europe a joué un rôle de premier plan dans l’action menée pour affronter des défis tels que la supervision des marchés financiers, l’élaboration de politiques durables en matière climatique et le commerce international. Ce sommet est l’occasion de prendre de nouveaux engagements. Nous devons mettre rapidement en œuvre la réforme du système financier mondial et prendre des mesures décisives contre le changement climatique. Et nous devons réaffirmer et respecter nos engagements à l’égard des plus pauvres de ce monde.»

La nécessité de ne pas dépasser une hausse des températures de 2°C, il sera le message de la Commission européenne aux participants de la réunion internationale sur le thème du changement climatique. Réaffirmer l’objectif consistant à réduire d’au moins 50 % les émissions mondiales nocives, c’est la ligne d’action que la Commission porsuit. “Tous les pays développés doivent être prêts – a affirmé le président de la CE – à réduire leurs émissions d’au moins 80 % et à faire un premier pas sérieux dans ce sens”.

Antonio Torrenzano

 

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Le secrétaire général de Nations Unies a annoncé, pendant une conférence de presse, d’avoir envoyé deux lettres séparées, au G8 et au G20, pour attirer l’attention sur les questions urgentes du changement climatique et de la crise économique mondiale. Les thèmes seront discutés à partir de demain au sommet G8 de l’Aquila.

«Dans la perspective du sommet du G8 à l’Aquila, a déclaré sa porte-parole Michèle Montas, il est urgent que les leaders du G8 posent l’attention sur les deux thèmes et leurs possibles solutions. Sur le changement climatique, le secrétaire général demande aux gouvernements du G8 de prendre des engagements fermes et ambitieux afin de réduire les émissions de 25 à 40%».

Pour ce qui concerne, en revanche, les nouvelles lignes d’action pour réduire la fracture de la pauvreté entre le nord et le sud de la planète : « J’espère – a affirmé Ban Ki-Moon – que les gouvernements du G8 s’engageront à un calendrier spécifique et à des modalités pour fournir les milliards de dollars nécessaires au cours des prochaines années pour aider les plus pauvres et les plus vulnérables à s’adapter aux changements climatiques». Sur le thème de la crise économique , le secrétaire Ban Ki-Moon demande de traduire les bonnes intentions des États occidentaux en solutions concrètes.

Le secrétaire général a appelé à « passer un nouveau Rubicon, vers un futur audacieux où les demi-mesures et les engagements non respectés sont une chose du passé ».

Antonio Torrenzano

 

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Le sommet du G8 2009 sous présidence italienne se tiendra à l’Aquila, du 8 au 10 juillet 2009. La réunion conclura une série de rencontres ministérielles déjà développées pendant les mois de mai et juin dans différentes villes italiennes sur l’énergie, sur la Justice et les Affaires intérieures, le développement et finances, sciences et technologies et la dernière, du 25 au 27 juin, dans la ville de Trieste qui a été la réunion des ministres des Affaires étrangères.

L’Italie accueillera, donc, de mercredi à vendredi à L’Aquila, un sommet du Groupe des huit élargi à une quarantaine d’États et d’Organisations internationales. Les participants devraient représenter presque le 90% de l’économie mondiale. Le sommet, pris en sandwich entre les G20 de Londres en avril dernier et celui de Pittsburgh en septembre prochain, il sera une réunion d’analyse et de réflexion où les Chefs d’État et les diplomates des Organisations internationales poursuivront les analyses sur la crise économique, la possible mise en place d’un nouveau «global legal standard» et les négociations sur le changement climatique.

Mais, dans le carnet du G8, qui se tiendra à l’Aquila, ils y auront aussi d’autres thèmes : la poursuite du dialogue avec les pays émergents ; la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement; les négociations sur le changement climatique; le développement du Continent africain autour de quatre enjeux (sécurité alimentaire, santé mondiale, eau, éducation).

Le sommet du G8 pour ce qui concerne le Continent africain devra trouver de solutions surtout sur trois sujets : l’aide aux Pays du continent devenu plus que jamais nécessaire depuis la crise économique; de nouvelles lignes d’action pour la santé puisque des millions de malades n’ont plus accès aux soins et de nouvelles actions sur l’éducation. Plus que jamais nécessaires, ils seront aussi des actions immédiates pour le soutien de l’alimentation et de l’agriculture pour préserver de la famine les populations de l’Afrique et éviter une nouvelle catastrophe pour l’humanité. Les principaux leaders oublieront-ils encore une fois le combat de millions de gens dans les pays les plus pauvres pour le droit à la nourriture, aux soins de santé et à l’éducation ?

Antonio Torrenzano